Le Trochiscanthe nodiflore [TN]

n°533 (2016-33)

mardi 30 août 2016

"Lettre hebdomadaire" du site "Rencontres Sauvages"
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Michael Haydn - Requiem MH 155

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Toilettes, bains et Reflets : au bord de l'eau
photographies et vidéos
Bouverans et La Rivière-Drugeon
(Haut-Doubs)
été 2016



Cygne tuberculé à sa toilette
Bouverans (Haut-Doubs)
dimanche 26 juin 2016


Bouverans (Haut-Doubs)
dimanche 26 juin 2016


Foulque macroule
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

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La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

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Reflet de la toilette d'un Foulque macroule
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

ça gratte !

Jeune Canard colvert s'ébrouant

La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

Bain d'un jeune Canard colvert

Etirement

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La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

Reflet d'un jeune Canard colvert

Bain d'un "gros" Canard - une espèce domestique échappée (?)


Portrait d'un jeune Canard colvert



Jeune Foulque macroule à sa toilette

La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016


Flou (!)

Portrait d'un Foulque macroule adulte

La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

Jeune Foulque macroule se grattant

Bain

La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

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Le voyage de la plume sur l'eau !...

Canard colvert au repos

Jeune Foulque macroule à la recherche de nourriture

La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

Sur une patte...

Grèbe huppé : adulte et jeune à leur toilette

Reflet d'un Foulque macroule
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 30 juillet 2016

Jeune Foulque macroule
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 27 août 2016

La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
samedi 27 août 2016

Jeune Foulque macroule et Canard colvert
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)

samedi 27 août 2016

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Grèbe huppé : adulte et jeune
(à travers le feuillage d'un Saule)
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)

samedi 27 août 2016

Le "gros" canard...
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)

samedi 27 août 2016

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Reflet de toilettes
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)

samedi 27 août 2016

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Portrait
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)

samedi 27 août 2016

Reflet du portrait

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Repos sur une patte
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)

samedi 27 août 2016




Suggestion de lecture :

"27 juillet 2012. Il est tôt. Mes yeux fixent les lattes du grenier dans lequel je dors avec ma famille. Ma tête est lourde, étourdie par le sommeil, abrutie de chaleur. Mon corps réclame de l'air. Doucement je me lève, enfile quelques vêtements et me glisse à l'extérieur. La nature sent bon. Je progresse à petits pas dans l'herbe haute, les pieds nus. Des myriades d'insectes s'entrecroisent autour des buissons. Les premières lueurs du jour me font du bien.

Nous passons des vacances en famille dans la ferme de cousins, récemment convertie à l’agriculture biologique. Derrière les haies du jardin, quelques vaches, cochons, chevaux piétinent l’herbe grasse. J’enfile des chaussures et marche, pendant près d’une heure, au contact d’une vie dense et sereine, logée dans les fourrés, dans les arbres, sur les mares.

Revenu au grenier, j’allume mon ordinateur pour y parcourir les informations. Sur le site du Monde, je remarque un article au titre inhabituel, tout en haut du classement des textes les plus partagés par les internautes : “La fin de la planète en 2100 ?” Il s’agit d’un post de blog d’une des journalistes “environnement”, Audrey Garric. En le parcourant, puis en le lisant plus attentivement, je comprends qu’il évoque une possible disparition d’une partie des êtres vivants d’ici à quelques décennies. J’ai du mal à y croire. L’information provient d’une étude publiée dans la revue Nature par vingt-deux scientifiques du monde entier. Elle met en relation des dizaines d’autres travaux portant sur la pollution, le dérèglement du climat, la déforestation, l’érosion des sols, l’augmentation de la population, l’effondrement de la biodiversité… et parvient à la conclusion que nous sommes à la veille d’un point de bascule, où la dégradation en chaîne des écosystèmes pourrait profondément modifier les équilibres biologiques et climatiques de la planète. Ce changement se produirait de façon si brutale qu’il ne permettrait pas aux espèces vivantes de s’y adapter…

Pendant plusieurs heures, je suis sous le choc. Lorsque tout le monde se lève, je ne dis rien. Je ne sais pas quoi dire. J’observe mes enfants prendre leur petit-déjeuner, les yeux gonflés par le sommeil, je regarde les autres (ma compagne, ses cousins) effectuer les gestes mécaniques qui remettent les corps en selle, chaque matin. Tout ce qui m’aurait paru normal la veille me semble à présent parfaitement décalé. Je ne vois pas comment leur partager ce que je viens de lire. Et pourtant je n’y tiens plus. J’attends peut-être une heure et je leur raconte. Du mieux possible. Sans pathos exagéré. En y mettant un maximum de nuances et de précautions. Mais en exprimant à quel point cette nouvelle me bouleverse. Personne ne réagit comme je m’y attends (je n’avais parlé qu’aux adultes). L’amorce de notre conversation ressemble à quelque chose comme “On sait bien que c’est la catastrophe… Et à la fois qu’est-ce que tu veux qu’on y fasse ?” Une part de moi est atterrée. Tandis que l’autre comprend parfaitement ce qui se produit. Car, dans le fond, que voulez-vous faire d’une nouvelle pareille ?

Dix jours plus tard, l’étude fait la une de Libération. Laure Nouhalat, journaliste emblématique du service “planète”, est parvenue, à la faveur du creux éditorial du mois d’août, à décrocher la une du journal et quatre pages intérieures. J’en reparle à ma compagne. Et trouve davantage d’écho. Pour autant, je suis fasciné par l’absence de réaction concrète que cette information suscite. Y compris chez moi. Elle ne change rien de spécial à notre quotidien, alors que nous parlons d’une série d’événements dont l’impact serait aussi grave (et sans doute bien plus grave) qu’une guerre mondiale.

Le 31 mars 2013, je suis l’un des invités du journal de Stéphane Paoli sur France Inter. Durant la préparation de l’émission, je lui parle de l’étude et lui fais part de ma consternation. Aucun média d’envergure n’a sérieusement abordé la question depuis Libération le 9 août 2012. À l’antenne, il se fait le relais de cette absurdité médiatique. Avec conviction. Et pourtant, le journal de 13 heures, au cœur de sa propre émission, sur cette radio publique, sérieuse, réputée de gauche, où de nombreux journalistes de qualité travaillent depuis des années, n’a abordé qu’une poignée de faits divers et quelques guéguerres entre politiciens. Rien de véritablement important. Au final, cette information qui aurait dû faire la une de tous les journaux, de toutes les radios, de toutes les télévisions nationales a été reléguée (à l’exception notable de Libération, grâce à l’opiniâtreté de Laure Nouhalat) à un post de blog dans l’un des plus grands quotidiens de France, à un encart dans Alternatives économiques et à deux articles sur Internet (à ma connaissance sur le site des Échos et de Psychologie magazine)… Comment est-ce possible ?

Pendant plus de six ans, j’avais activement réfléchi à ce paradoxe. Fin 2006, on m’avait confié la création d’un mouvement, inspiré par l’agroécologiste et écrivain Pierre Rabhi. Je l’ai dirigé jusqu’en août 2013, période durant laquelle nous avons tâché de comprendre ce qui poussait les citoyens, les entrepreneurs, les élus à agir… ou à ne pas agir. Les constats alarmistes se multipliaient depuis des décennies, qu’ils viennent d’auteurs méconnus comme Fairfield Osborn dès 1949, de Rachel Carson en 1961, du rapport du Club de Rome en 1972, du GIEC depuis 1988, du premier sommet de Rio en 1992 (et de tous ceux qui ont suivi), de documentaires, d’émissions de télévision, d’ONG et même de quelques responsables politiques… mais ils ne donnaient lieu à aucune mesure d’envergure. Les gouvernements continuaient à réfléchir à court terme, régulièrement orientés dans leurs choix par les poids lourds du monde économique et financier, et par l’obsession d’être réélus ; la plupart des entrepreneurs épousaient la logique de la croissance et du capitalisme, de gré ou de force ; la majorité des citoyens continuaient à faire tourner la machine consumériste, enferrés dans leur quotidien et leurs tracasseries financières… Et pendant ce temps, la moitié des populations d’espèces sauvages disparaissaient, la température du globe continuait à augmenter, les monceaux de déchets s’accumulaient, 1 milliard de personnes n’avaient pas de quoi se nourrir, tandis que près de 1,5 milliard souffraient d’obésité. Et 85 personnes accumulaient autant d’argent que 3,5 milliards d’autres… Que fallait-il pour que nous réagissions ?

À force de me poser ces questions, deux choses me sont apparues.

D’abord que nous souffrons d’une croissante virtualisation du réel. De notre incapacité à mettre en relation nos actes et les conséquences que nous ne voyons pas, que nous ne sentons pas : le dérèglement du climat provoqué par notre consommation déraisonnable d’énergie, la souffrance des esclaves à l’autre bout du monde qui assemblent nos téléphones et nos vêtements, l’épuisement des ressources qui servent à fabriquer nos biens, la souffrance des animaux qui défilent sur les chaînes des abattoirs mécanisés pour que nous nous gavions de steaks, de hamburgers et de saucisses, les milliers d’espèces sauvages que nous rayons de la surface de la Terre pour construire des parkings, des hôtels, des supermarchés, pour faire pousser du maïs et du soja qui nourriront nos bœufs, nos poules, nos cochons que nous confinons dans des hangars gigantesques… Maintes et maintes fois, j’avais tenté d’expliquer à mes enfants pourquoi je refusais de les emmener dans les fast-foods où tous leurs amis allaient, comme on va au cinéma ou à la boulangerie, sans y penser. Mais ce que je leur ressassais – et qu’on m’avait ressassé des années plus tôt sans que cela provoque le moindre passage à l’acte – n’était que des mots, des idées abstraites. Les forêts que l’on rase ne sont que des chiffres, parfois des images, que nous oublions dès qu’une nouvelle distraction les chasse de nos esprits. Je vois bien au prix de combien d’efforts je dois régulièrement me re-convaincre des choix que j’ai opérés : de la nécessité de ne pas manger de viande, de ne pas aller au supermarché, de ne pas prendre l’avion trop souvent… Et combien de fois je craque. Car que valent ces bonnes intentions face au poids de la culture de masse et des habitudes ? Comment espérer les voir triompher tandis que tout dans notre mode de vie, dans la façon dont notre monde est organisé, nous conduit à grande vitesse dans la direction opposée ? Et pourtant, quel choix avons-nous ?

La deuxième chose qui m’est apparue est notre manque d’horizon. Dès 2007, je mesurai à quel point une vision désirable de l’écologie, d’un monde soutenable, nous faisait défaut. Nous passions notre temps (comme la plupart de nos collègues des autres ONG) à demander aux acteurs de la société de changer leurs façons de vivre, sans pour autant leur proposer d’alternatives globales et stimulantes… Nous leur enjoignions de poser un pied dans le vide. Et peu de personnes ont le courage ou la possibilité de faire un pareil saut dans l’inconnu. Nous devions proposer une planche de salut, un sol ferme et rassurant sur lequel nous appuyer, collectivement, pour construire l’avenir. Ou du moins essayer. Les conférences, les événements que nous organisions étaient peuplés de personnes qui n’avaient qu’une phrase à la bouche : “Que peut-on faire ?” Mais proposer des actions isolées ne suffisait pas. Surtout lorsqu’elles apparaissaient en décalage avec l’ampleur du problème. Il est difficile de croire qu’“une douche plutôt qu’un bain” puisse avoir le moindre impact sur l’épuisement des ressources en eau, lorsqu’on sait que 70 % de l’eau est utilisée par l’agriculture et l’élevage.

Il est incongru de mettre en regard l’énormité du dérèglement climatique avec la lumière que l’on va penser à éteindre ou le trajet en voiture que l’on va éviter. Surtout lorsqu’on connaît les quantités de gaz à effet de serre émises par les centrales à charbon chinoises ou l’extraction du pétrole bitumineux en Alberta. Bien entendu, ces raisons constamment invoquées pour ne pas agir (parce qu’il y a toujours plus gros pollueur quelque part dans le monde) sont indignes de notre humanité. Mais elles disent quelque chose d’essentiel : une part de nous croit que ces actions ne servent à rien. Et personne n’a envie de faire des efforts pour rien. Peut-être fallait-il alors que ces actions s’inscrivent dans un schéma directeur. Que nous dessinions les plans d’une nouvelle maison, d’une nouvelle société, en indiquant comment chacun peut participer à en poser les premières pierres. Peut-être avions-nous prioritairement besoin de construire du sens, de l’enthousiasme, des histoires, qui parlent aussi bien à nos intelligences qu’à nos cœurs.

Au cours de l’année 2008, j’avais découvert un livre dont la lecture m’avait très profondément marqué : L’Espèce fabulatrice, de la romancière et essayiste Nancy Huston. Ce livre commence ainsi :

Seuls de tous les vivants terrestres les humains savent qu’ils sont nés et qu’ils vont mourir.

Ces deux savoirs nous donnent ce que n’ont pas même nos plus proches parents chimpanzés et bonobos : l’intuition de ce qu’est une vie entière.

Nous seuls percevons notre existence sur Terre comme une trajectoire dotée de sens (signification et direction). Un arc. Une courbe allant de la naissance à la mort. Une forme qui se déploie dans le temps, avec un début, des péripéties et une fin. En d’autres termes, un récit.

Au commencement, le Verbe” veut dire cela : c’est le verbe (l’action dotée de sens) qui marque le commencement de notre espèce.

Le récit confère à notre vie une dimension de sens qu’ignorent les autres animaux. […] Le sens humain se distingue du sens animal en ceci qu’il se construit à partir de récits, d’histoires, de fictions.

Dans cet ouvrage, Nancy Huston suggérait que la fiction est une fonction élaborée par l’être humain pour assurer sa survie. Effrayé, angoissé par sa propre fin, il éprouve un besoin désespéré de construire du sens, de justifier son existence au cœur des mystères qui l’entourent. Religions, États, Histoire, il ne cesse d’élaborer des histoires individuelles et collectives qui, lorsqu’elles sont largement partagées, deviennent le socle de ses constructions sociales et culturelles. La tradition orale, picturale, puis le livre ont longtemps tenu une place de choix dans la diffusion de ces récits. L’apparition du roman a accéléré ce phénomène jusqu’à lui donner une place officielle de “fiction”. Depuis les années 1930 et encore plus depuis les années 1950, le cinéma a pris une place grandissante dans cette capacité que des êtres humains ont développée de raconter des histoires à des millions d’autres. Et de façonner ainsi leurs imaginaires.

L’angle sous lequel la réalité était présentée dans ce livre fut une sorte de révélation. Je ne prétends pas que cette théorie est exacte. Mais c’est une fiction qui m’a parlé. Il me sembla alors que l’ensemble des idéologies, des modèles de société contre lesquels nous étions amenés à dépenser tant d’énergie ne pouvaient être “combattus” efficacement que sous l’angle de la fiction et du récit. À bien des égards, ce que nous avons coutume d’appeler le “rêve du progrès” est une fiction qui, par sa capacité à faire fantasmer une bonne part de l’humanité (et donc à la faire adhérer pleinement à ce récit, au point de participer à le mettre en œuvre), a bouleversé notre humanité tout entière. Vouloir engager tout ou partie de l’humanité dans une nouvelle voie, plus écologique, plus humaine, ne pouvait donc se faire sans jeter les bases d’une nouvelle fiction collective.

Fin 2010, j’ai commencé à écrire un film qui tenterait d’aller dans ce sens. Comme une sorte d’ébauche, où nous poserions les murs que nous connaissons déjà : les initiatives pionnières participant à réinventer l’agriculture, l’énergie, l’urbanisme, l’économie, la démocratie, l’éducation… Je voulais voir si, les mettant bout à bout, nous verrions émerger un récit décrivant ce que le monde de demain pourrait être. Et si cette fiction serait suffisamment inspirante pour susciter action et créativité, comme la fiction du “progrès” avait réussi à le faire soixante ans plus tôt. Fin 2011, j’ai rencontré l’actrice et réalisatrice Mélanie Laurent. En septembre 2012, nous sommes partis visiter ensemble une ferme en permaculture tout à fait extraordinaire (voir p. 76-86). Sur le trajet du retour, je lui ai parlé du projet que j’avais toutes les peines du monde à monter. Elle s’est montrée très enthousiaste et nous avons commencé à entretenir une relation d’amitié. En février 2013, après de nouvelles déconvenues auprès de partenaires potentiels, je lui ai proposé que nous le réalisions ensemble. Elle a accepté dans la seconde, refusant d’autres engagements plus lucratifs et plus valorisants pour sa carrière. Un an plus tard, après beaucoup de travail et un premier galop d’essai sur l’île de la Réunion, nous lançâmes une campagne de financement participatif. Nous cherchions à rassembler 200000 euros en deux mois pour démarrer le tournage proprement dit. Grâce à l’enthousiasme extraordinaire de 10 000 personnes, nous les avons levés en deux jours. Et à l’issue des deux mois nous disposions de 450 000 euros. L’aventure pouvait commencer. Grâce à ces femmes et à ces hommes (puis à d’autres partenaires), nous avons pu voyager dans dix pays, rencontrer près de cinquante scientifiques, activistes, entrepreneurs, élus, qui posent les bases d’un monde nouveau. Ce livre et le film DEMAIN en sont les témoignages..."


Cyril DION - Demain


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