Le Trochiscanthe nodiflore [TN] n°426 (2014-27)

mardi 15 juillet 2014

"Lettre hebdomadaire" du site "Rencontres Sauvages"
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Johannes Brahms - Begräbnisgesang
(Chant funèbre)

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Portrait de Brahms :
compositeur moustachu et romantique...



Renards, Lièvre
s...
"moustachus" à
Courvières (Haut-Doubs)
Printemps 2014


Ciel tourmenté
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 20 avril 2014

Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 20 avril 2014

A la chasse...
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 20 avril 2014

"Ce matin, c’est le grand gel et le silence. C’est le silence, mais le vent n’est pas bien mort. Il ondule encore un peu, il bat encore un peu de la queue contre le ciel dur. Il n’y a pas encore de soleil. Le ciel est vide ; le ciel est tout gelé comme un linge étendu…

Il est allé guetter le renard. Ça se fait avec beaucoup de silence et peu de gestes. On se cache en colline et on écoute…"

Regain – Jean GIONO

Renard adulte se grattant
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 20 avril 2014

Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 20 avril 2014

En plein après-midi, à la recherche de nourriture...
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 20 avril 2014

Regard de Renard
(il est intrigué par le déclenchement de l'appareil-photo !)
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 20 avril 2014

Mâle
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 20 avril 2014

Au bord de la doline
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 20 avril 2014

Arrêt sur une dalle calcaire
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 20 avril 2014

Narcisse des poètes (Narcissus poeticus)
Courvières (Haut-Doubs)

lundi 9 juin 2014

Dans l'ombre
Courvières (Haut-Doubs)

lundi 9 juin 2014

Courvières (Haut-Doubs)
lundi 9 juin 2014

Pissenlit
Courvières (Haut-Doubs)

lundi 9 juin 2014

Marguerite
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 14 juin 2014

Silène enflée
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 14 juin 2014

Matin
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 14 juin 2014

La loge
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 14 juin 2014


Deux Lièvres
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 14 juin 2014

Lièvre au repos
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 14 juin 2014

Lièvre debout
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 14 juin 2014

En alerte !,
les renards ne sont pas loins !!
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 14 juin 2014

Héliantheme nummulaire (Helianthemum nummularium)
et une abeille (floue !)

l'Or de la prairie !

"En grec, "prairie" se disait nomas [nummus ou numus] et le "nomade" était un chef ou un ancien du clan
qui présidait à la répartition des pâturages. Nomos en vint ainsi à désigner "loi", "juste distribution",
"ce qui est établi par l'usage" et constitua donc la base de tout le droit occidental.
Le verbe nemein - "brouter", "paître", "vagabonder" ou "se disperser" - a eu, dès l'époque
d'Homère, un second sens : "négocier", "partager" ou "distribuer" - particulièrement la terre,
les honneurs, la viande ou la boisson. Nemesis était l'"administration de la justice"
et donc de la "justice divine". Nomisma, "monnaie ayant cours", a donné "numismatique".

Bruce Chatwin - le Chant des pistes


Renard adulte
(est-ce la renarde ?)
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 15 juin 2014

Renard adulte, se grattant...
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 15 juin 2014

Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 15 juin 2014

Renard adulte, en maraude
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 15 juin 2014

Renard adulte
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 15 juin 2014

Marguerite
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 15 juin 2014

Rhinanthe
Courvières (Haut-Doubs)

dimanche 15 juin 2014

Renarde et un renardeau
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Renarde suivie...
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Renarde chassant et deux renardeaux
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Renarde bondissant
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Renarde et deux renardeaux
(l'un s'en va à l'aventure !)

Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Herbe au soleil
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Panorama
<image recadrée>
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Les andains
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Deux Narcisses
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Courvières (Haut-Doubs)
samedi 21 juin 2014

Marguerite
(sous laquelle un "perce-oreille" a trouvé refuge)
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Renardeau
(le même qu'un peu avant !)
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

La Renarde m'observe de loin (!),
cachée derrière un tumulus...
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Elle est rejointe par un des renardeaux...
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Fougère (entre ombre et lumière),
à proximité de mon affût...
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Passage du TGV
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

Gentiane jaune
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014

La Chapelle
Courvières (Haut-Doubs)

samedi 21 juin 2014


Pour voir d'autres "moustachus à Courvières",
d'un peu plus près !
cliquez sur les images ci-dessous
(ou sur chaque [numéro])

[numéro 323]

Fable moderne : le Lièvre et la Tortue (Haut-Doubs)

Texte : Raboliot - Maurice Genevoix

Musique : Gaston Couté - Cantique païen

Mardi 26 juin 2012

[numéro 325]

Renardeaux à Courvières (Haut-Doubs)

Texte : Le petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry

Musique : La Flute enchantée (ouverture) - WA Mozart

Mardi 10 juillet 2012


Petit texte :

"L'enfant qui voit faire une belle armoire veut devenir ébéniste. Celui qui entend un concert admirable veut devenir musicien. Et celui qui, un soir de mai, voit évoluer sur la place du village des bohémiens qui font des tours de force et d'adresse veut partir avec eux dès le lendemain et devenir baladin. La vie se trouve changée pour lui à partir de ce moment-là. C'est ainsi que je suis devenu ce que je suis...

Mes parents auraient souhaité me voir devenir fonctionnaire (les parents ont de ces goûts incompréhensibles) ! Ni ma mère, noire paysanne, ni mon père, jovial braconnier, n'eussent accepté pour eux-mêmes la vie de fonctionnaire qui les épouvantait, mais, par amour parental, ils me vouèrent à cet « enfer ».

Et pourtant je ne suis pas fonctionnaire, Dieu merci ! Je suis berger. Oh, pas de ces bergers qui ne font que garder les moutons, qui arrivent un soir pour se louer, pendant la belle saison, et qui repartent de la même façon pour se placer ailleurs. Non, je suis un vrai berger, un berger de vocation, imbu de sa valeur professionnelle, jaloux de ses prérogatives, fier de sa condition, heureux de son sort et enivré par sa mystérieuse destinée.

Mes parents, eux, en sont morts de chagrin.

Aussi, pourquoi s'entêtaient-ils à vouloir faire de moi un fonctionnaire alors qu'ils n'eussent pas voulu le devenir eux-mêmes ?

Quoi qu'il en soit, au lieu d'être commis de perception ou surnuméraire des Postes, je suis berger, berger d'un beau troupeau dans mon pays natal.

***

Il y a bien longtemps, je revins chez mon père, par un soir poussièreux de juillet, portant sous le bras un mince rouleau de papier glacé. Ce papier était un diplôme, un diplôme modeste, subalterne en somme, le plus mal placé dans la hiérarchie des diplômes : c'était mon certificat d'études primaires.

Encore vêtu de mon beau costume (un complet tout neuf que je n'avais porté qu'une fois, pour ma première communion), j'allai annoncer la bonne nouvelle aux voisins et je ne voulus pas omettre d'avertir le berger de mon premier succès scolaire, bien qu'il ne se fût intéressé jusque-là qu'à mes écoles buissonnières.

Ce berger était un homme étrange ; depuis mon enfance, je n'ai sympathisé qu'avec des hommes étranges. Il avait un visage noir où s'enfonçaient des yeux d'un vert liquide ; des poils surgissaient de tous ses pores encrassés, son sourire était une affreuse déformation de son visage.

Je le trouvai assis sur le talus ensoleillé, devant la porte de la bergerie. Il apprit mon succès sans en paraître surpris :

« Te voilà savant. Il importe maintenant que ton instruction te serve à quelque chose. Non pas à pâlir dans un bureau, comme tes parents le désirent (cela me fait mal de penser qu'ils pourraient t'envoyer là-bas), mais à devenir un homme heureux. »

« Vois-tu », dit-il après s'être étiré, mollement appuyé sur un coude, « ici, j'ai peu d'allure, je suis sale et hirsute, humble et retiré. Cependant, je suis le plus heureux des hommes... Je pars derrière mes moutons, ils soulèvent de la poussière quand ils sont dans la sente puis, lorsque le troupeau s'étale dans la chaume, cette poussière s'apaise, nous dérangeons des lapins et des renards : je passe comme un général qui conduit son armée... »

Affalé sur l'herbe, une brindille à la bouche, il souriait.

« Vous avez un beau métier, berger, lui dis-je.

- Oui, petit, oui, il n'y en a pas deux comme cela.

- Et que faites-vous toute la journée, berger ? »

Il dit, le plus simplement du monde :

« Je rêve.

- Et à quoi rêvez-vous ?


- Aux vieux qui sont morts depuis des années, aux vieux légendaires qui furent des célébrités du pays ; je rêve aux autres, plus modestes, aux filles que j'ai connues dans ma jeunesse et maintenant sont des vieilles grand-mères toutes menues, toutes cassées. Tous ont travaillé du pour gagner la tombe où j'irai bonnement les retrouver, moi qui n'ai fait que rêver. »

Je murmurai : « Je voudrais devenir berger !

- Tu as raison, petit, fais-toi berger, c'est une des rares positions où l'on puisse cesser, sans inconvénients, d'être ce que l'on est. Ainsi, passée la ferme des Grillottes, je cesse d'être berger, chaque jour, car le chien me remplace ; je lui donne ma tête et tous les soucis qu'il y a dedans, il en est tout fier et il s'en sert mieux que moi. »

Il éclata d'un rire énorme qui trouva son écho sur le versant opposé de la vallée où une équipe mettait du regain en bouillots. Le vieux avait déjà quitté ces pensées mais moi je répétais, guindé dans mon costume :

« Eh bien, je voudrais être berger ! »

Il me regarda sans broncher, de ses yeux incolores.

« Tu le seras, petiot, tu le seras certainement.

- Vrai ?

- Oui, si tu le veux réellement, je t'apprendrai le métier, il ne consiste pas tellement en des connaissances précises. Tu restes près de moi un an, deux ans, trois ans, je te montrerai ce qu'il faut faire en été, en hiver, en automne, au printemps, et toute sorte de choses sur les insectes et sur les plantes. »

Je me souviens des après-midi de chaleur passés dans la salle de l'école, alors que tous les bruits vous endorment et que la voix du maître, si monotone, vous berce.

« Les jours du mois de juillet, berger, lorsqu'il fait si chaud à l'école, que faites-vous ?

- Je m'étends sur l'herbe, petit, à plat ventre et je rêve encore. On n'a pas assez le temps, ailleurs que dans mon métier, de penser à ces choses-là. Le berger s'en occupe, lui : il est le rêveur public. Si tu devenais berger, tu serais aussi celui qui rêve pour tout le village, pour la Bourgogne, pour le monde entier. »

Il était repris par sa manie de faire des phrases, de prononcer des mots superbes, comme on en lit dans les livres.

« ... Parce que le berger, continua-t-il, c'est un druide, c'est le trait d'union entre le silence de la nature et l'affairement bruyant des fermes, c'est lui qui possède le secret ! »

Il fermait les yeux, comme une vieille femme en prière.

« Comme moi, tu porterais une barbe et un grand manteau. Dans la serénité de la campagne, tu officierais comme moi et le soir, au retour, tu lirais dans les yeux qui te regardent l'admiration, le respect, la crainte aussi : on a peur du berger parce qu'il porte en lui le mystère des friches, ainsi que sa blouse, derrière lui, traîne un parfum de bergerie. »

Il clignait de l'oeil et palpait à petits coups sa barbe étalée :

« Il n'est pas impossible que tu deviennes berger, dit-il. Alors, oh alors, je te promets de belles joies ! »

A chacun de ses mots, dans chacune de ses attitudes, on sentait l'orgueil prodigieux de ce fruste, un orgueil qu'il tirait de sa sagesse, de son éloquence inattendue, de la beauté simple de sa vie, de la splendeur de sa barbe grise.

« Je t'annonce des émotions sans nombre et d'une valeur inappréciable... »

Un silence, puis :

« Oui, voilà ce que je te prédis : un jour, dans des dizaines et des dizaines d’années, alors que tu seras monté dans la montagne avec le troupeau, afin de voir, depuis là-haut, ton village affirmer sa petite note vive dans la vallée, il te prendra désir de t’étendre sur cette herbe qu’ombragent les noisetiers. Ce ne sera pas vaincu de fatigue ni sollicité par la paresse que tu obéiras, mais le soleil chauffera doucement la friche pour en distiller, dans l’air, les essences, et l’âme de ton pays envirotera ton âme au point de la faire tituber, comme en ribote. Alors tu t’assiéras, et l’esprit tendu par des pensées nombreuses qui seront des souvenirs, des projets, des émois, tu voudras tout voir d’un seul coup d’œil, les bois, les prés, la rivière, les roches, les éboulis, les grands horizons et le village. Tu vibreras comme les grillons qui font partie du paysage, puis, attiré par la mousse, tu t’étendras.

« Te voilà maintenant couché sur la terre rouge de la montagne, ton regard se perd dans le ciel, tes mains se promènent dans l’herbe rude, au hasard ; elles y palpent des éclats de calcaire dont le contact même t’est familier ; tes doigts rencontrent des insectes qui les évitent habilement et s’abritent sous les gentianes. Tu respires, jusqu’à l’ivresse, l’haleine de ta terre…Tout à l’heure, au retour, tu auras les pommettes rouges et la fièvre cognant aux tempes. J’ai vécu toutes ces extases et je peux te les raconter toutes, en détail, depuis le moment où l’on se reprend. Pour l’instant, tu te laisses aller et, pour ne pas éparpiller tes sensations, tu fermes les paupières… C’est alors un sommeil où tu revois tout, ton enfance, dans les vergers, ton école et tes maîtres, tes amours, ta vie. Petit ! c’est beau, à cette heure, il fait doux, on chancelle au bord du rêve. Surtout, ne te raidis pas, cela fait mal à la tête. Laisse aller. »

Le vieux s’arrêta, comme essoufflé, mais surtout très ému puis, la voix plus basse, plus douce :

« Je voudrais tout te prédire, mais ce n’est pas possible, il y a tant de choses ! D’abord l’odeur des vignes qui vient de l’autre côté des montagnes, le souffle des forêts, les bruits de la vallée, le lointain fracas de la maréchalerie, un écho de basse-cour, tout cela pas plus perceptible que les glissements d’insectes entre les herbes et aussi subtil que les parfums des végétaux que tu broyes de ton corps étendu. Une stupeur bienheureuse t’envahit, tu ne peux plus rien refuser à ton imagination qui t’entraîne ; cela fait tournoyer ton âme. »

Il se tut et, les mains moites, le cœur palpitant, je soufflai :

« Continuez, berger, oh continuez !

- Voici l’aboutissement de toutes tes études, reprit-il, et de tous tes efforts. Voici le résultat des activités les plus diverses de ton esprit : le rêve. C’est pour y atteindre que tu as vécu, pensé, lu, souffert, c’est pour en arriver à cette ivresse que tu t’es fait berger. Sois simple, à cet instant, et laisse-toi bercer comme un petit enfant, savoure cette joie intime qui n’est donnée, comme une grâce, qu’à ceux, très rares, qui la méritent et prolonge cette ivresse jusqu’au soir, si tu peux, sans bouger, suspendu entre ciel et terre. Par toi, c’est le village entier qui rêve. Sens-tu comme ton corps est mort, immobile ? »

Je faisais oui de la tête, mais le vieux mage continuait :

« Déjà, les fourmis le confondent avec le sol et s’y promènent, chez elles, comme sur la tiède terre où serpentent leurs sentiers, comme sur un cadavre. Déjà, les scarabées s’affairent et les petites sauterelles des friches y viennent en promenade, par bonds, projetées dans le ciel pur par leurs grandes pattes jaunes. Tous tes muscles sont mous, ta tête s’alourdit, ton âme, évadée, plane au-dessus du paysage comme les brouillards des matins de mai. »

Ayant ainsi parlé, cet extraordinaire bonhomme se renversa sur le talus et, la chemise largement ouverte sur sa poitrine velue, il chantonna :

« C’est la douceur de vivre… »

Il me sembla dès lors qu’il ne pouvait pas y avoir de plus beau métier sur terre que celui où le rêve avait une si large part et je me sentis prêt à renoncer à tout pour devenir berger, tant est grande l’influence, sur une âme d’enfant, des discours de ces vieux mages auxquels est dévolu l’honneur de conduire les moutons..."

Henri Vincenot - Récits des friches et des bois



Portrait de Vincenot :
écrivain moustachu et bourguignon...



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